Dans le monde public, une figure aux multiples facettes émerge : Bamba Alex Souleymane, un homme polyvalent qui a fait parler de lui et continue de faire parler de lui. Son engagement dans divers registres est singulier dans le milieu de l’information et de la presse en Côte d’Ivoire. Acteur politique chevronné, passionné de sport, écrivain engagé, professionnel des médias accompli et défenseur fervent des valeurs familiales et de la justice, il incarne l’essence même de ‘’l’insubmersible’’. Jonglant habilement entre ses multiples rôles, il a une empreinte indélébile sur la société d’hier à aujourd’hui.
Homme de médias accompli
Doté d’une aisance naturelle devant les caméras et les micros, Bamba Alex Souleymane se révèle être un communicateur hors pair. Il captive les auditoires par son charisme et sa capacité à analyser les événements avec finesse. ‘’il plait à Dieu que je sois encore prêt de 40 ans à la lumière. Les hommes de valeur se reconnaissent aux traces qu’ils laissent. Or nos traces sont là. Et je suis un homme de valeur de la télévision ivoirienne dont je suis un pur produit. Combien sont-ils qui peuvent me dire aujourd’hui qu’ils m’ont vu présenter le journal télévisé en 1978, qui a été réalisé par Issa Sangaré Yeresso, désormais docteur es qualité. Issa était une synthèse de toutes les capacités techniques dans une télévision ? J’ai fait les premiers plateaux en 1978, puis plusieurs fois envoyé spécial pour le compte de la RTI et ce jusqu’en 1988 dans plusieurs pays, comme par exemple lors de l’élection présidentielle de 1988, qui a vu Bush père battre le démocrate Michael Dukakis. C’est ce qui fonde la légitimité et la primauté. Les faits et les écrits sont là et attestent…’’ Sa présence dans les médias lui offre une tribune privilégiée pour partager ses idées, défendre ses convictions et informer le public sur les sujets qui lui tiennent à cœur. Ainsi, par ses interventions éclairées et ses analyses pertinentes, il s’affirme comme une voix qui résonne dans l’espace médiatique, contribuant à enrichir le débat public et à sensibiliser la société aux enjeux cruciaux de notre époque. Passionné et engagé, formé dans les plus grandes écoles européennes (Maitrise de droit – Université de Paris Panthéon de Sorbonne, Droit du travail, sécurité sociale et ergonomie – Université de Lyon III Jean Moulin – , école supérieure de journalisme de Paris et CFJ, Rue du Louvres Paris, également) Soit 7 années d’études supérieures, jusqu’en 1979, Doctorant en hautes études internationales depuis 1982, il aime à jouer avec les mots et les lettres qu’il maîtrise avec art. Quand il jette un regard sur la télé d’aujourd’hui, il se veut simple, direct et franc. ‘’Dans le ‘’village planétaire’’, l’avènement de nouvelles chaines est une bonne chose. Elles viennent démocratiser l’information. Il y a à boire et à manger dans ce nouveau paysage audiovisuel. Il y a des animateurs de bonne qualité. Certains ont du talent. Pour d’autres, c’est inné. La race d’aujourd’hui n’est pas forcément, tributaire d’une formation élevée et relevée. Il y en a qui ont le background qu’il faut, mais qui ne sont pas talentueux. La nature est ainsi faite. Il y a des présentateurs brillants, Cheick Yvane, Yves de M’Bella. Konnie Touré, elle est à la fois une animatrice et une présentatrice… Et puis objectivement, Ali Diarassouba qui, avait fait déjà ses armes à la RTI (après la Radio Al Bayane), a porté la ‘’plus-value’’ au niveau de l’information avec des débats d’idées plurielles. Cela n’existait sur aucune chaine de télé auparavant. Il a fait naître ou renaitre certaines personnes qui étaient perdues dans l’ombre. Elles lui doivent une fière chandelle. Life Tv est précisément inscrite dans cette même dynamique de débats constructifs.’’
Homme politique engagé
Au cœur de la sphère politique, Bamba Alex Souleymane brille tel un phare par son éloquence naturelle et sa détermination sans faille. Sa vocation politique est animée par le désir de contribuer au bien commun et de promouvoir le progrès et le développement. “En cartésien invétéré, je mène mes combats avec détermination, en défendant mes idéaux avec passion et conviction.” Son parcours politique est jalonné de succès et de réalisations, témoignant de son implication dans la construction d’un avenir meilleur. Il déploie son talent d’orateur pour défendre ses valeurs avec passion et conviction, par des initiatives novatrices et des prises de position courageuses. Homme d’action et de réflexion, il s’investit corps et âme dans des projets au service de la collectivité, porteur d’un avenir meilleur. La politique est pour lui un véritable sacerdoce, un moyen d’agir en faveur du bien commun, de transformer les idées en actions concrètes pour le progrès et le développement de l’humain. D’un esprit vif et stratégique, il mène ses combats avec engagement, mettant en lumière des solutions innovantes et visionnaires afin de répondre aux défis de notre époque.
Écrivain engagé : deux livres sur Houphouët-Boigny et Alassane Ouattara
Autant que le verbe, la plume est une ‘’arme puissante’’ entre les mains de Bamba Alex Souleymane. En tant qu’écrivain engagé, il utilise ses talents pour sensibiliser la société sur des enjeux cruciaux à travers des articles fouillés et labelisés, des essais percutants et des discours inspirants. Il éclaire les consciences et suscite la réflexion sur des sujets importants. Sa passion pour l’écriture trouve sa source dans son désir profond de partager ses convictions et d’apporter sa pierre à l’édifice d’un monde meilleur. Les mots sont pour lui un moyen de sensibiliser, de mobiliser et de faire évoluer les mentalités pour un avenir plus juste et éclairé. “Je mets actuellement les dernières touches à deux livres sur Félix Houphouët-Boigny et Alassane Ouattara. Deux figures emblématiques et marquantes de notre histoire… C’est en 2007, que j’ai commencé à écrire le livre sur l’histoire et le parcours d’école et de majesté du Dr Ouattara sur insistance du Président Houphouët. Au moment où il vint au parti au pouvoir était au bord du chaos. Il porta le ‘’ bleu de chauffe’’ et évita au vieux sage Houphouët de ne pas être humilié. En praticien de la réalité, ADO prescrivit une thérapie qui remit en selle les automatismes macro et les théories financières qui s’imposaient. Du reste, la presse ivoirienne, telle qu’elle est aujourd’hui, est le fruit et la vision d’Alassane Ouattara.’’
Deux livres de belle facture en perspective pour découvrir les facettes de ces deux personnages d’exception qui ont marqué l’histoire de la Côte d’Ivoire.
Amateur de culture et de sport
En dehors de ses engagements professionnels, Bamba Alex Souleymane est un passionné de culture et de sport. ‘’J’aime la culture. Je suis un amateur d’afro cubain, de jazz, de soul music, de negro spirituel. J’aime le reggae mais aussi. J’aime aussi la musique d’ici. J’écoute un peu de tout : Roselyne Layo, Josey, Didi B, Mulukuku, Ayane, Safarel, Yodé et Siro – mes petits frères -, les jeunes qui font le Maimouna. J’ai près de 1000 livres dans la bibliothèque’’
“Le sport est également une de mes grandes passions. Le football, le basket, le handball etc… L’Asec c’est mon équipe de cœur. Je suis un passionné de foot. J’ai vu les derbys entre le Milan AC et L’Inter à San Siro de Milan en 1974 avec les deux grands joueurs de l’époque Gianni Riviera et Sandro Mazolo. On est allé voir Joan Cruff jouer. J’étais à la coupe du monde où l’Allemagne a remporté la finale avec Beckenbauer devant les ‘’bataves’’ de Hollande. ‘’ Sa passion pour le sport reflète son désir de dépassement de soi et de valeurs qui incarnent ‘’l’esprit d’équipe’’ et de discipline.
La famille, un pilier Indispensable
Derrière sa notoriété, Bamba Alex Souleymane trouve un soutien solide dans sa famille. Pour lui, la famille représente une valeur fondamentale, un ancrage qui lui permet de rester insubmersible face aux défis de la vie publique. Sa famille est sa source d’équilibre et de réconfort. Sans elle, il ne pourrait pas accomplir autant dans sa vie. ‘’J’aime mon épouse et mes enfants. Un trésor, un bonheur qui vient de Dieu. Gloire au Seigneur.’’
Bamba Alex Souleymane fascine par sa polyvalence et sa passion inébranlable pour différentes sphères d’activité. Acteur politique chevronné, amoureux du sport, écrivain engagé, homme de médias accompli et fervent défenseur des valeurs familiales, il laisse une empreinte indélébile sur le monde qui l’entoure. Son parcours inspirant rappelle à chacun l’importance de suivre ses passions et de rester fidèle à ses convictions pour laisser une trace significative dans la société. Comme il aime à le dire : ‘’lorsque tu t’éloignes de ton chemin, tu te perds. L’essentiel est invisible à l’œil. Mais c’est l’intuition qui permet de saisir cet essentiel. Il faut savoir rester soi-même, digne et ne rien entreprendre qui puisse donner matière à quelqu’un de médire de toi, de te jalouser bêtement. Quoi que tu ne peux pas empêcher les gens naïfs de le faire. C’est Dieu et l’histoire qui te permettent de rester debout et de faire la leçon.’’
A vous écouter on vous sent nostalgique de ses beaux jours de la télé, comme si la télé d’aujourd’hui ne faisait pas le poids ? il y a deux choses. la compréhension philosophique, la compréhension technique, technologique et sociétale. Le monde a changé, cette télé d’hier était l’époque de ceux qui allaient à l’école pour le faire et tu ne pouvais y entrer que parce que tu étais allé à l’école pour cela. Le premier jour dont Brou Aka Pascal monte à l’antenne à la télé, c’était avec moi lors du ‘’Mondialito’’ qui révéla un grand joueur brésilien dont on parle peu Paolo Isiriso de Jesus. CE fut des moments avec des hauts et des bas. J’ai été beaucoup combattu. Mais je dis que j’ai avec moi la foi et la connaissance. Je disais que je suis plus fort que tout le monde et ma formation me permet de mettre quiconque au défi et de battre n’importe qui. La preuve aujourd’hui encore, je domine l’underground à ciel ouvert. Les temps ont changé. Il y a des mutations dans les médias.
Qu’est-ce que vous reprochez à la télé d’aujourd’hui ? Pas grand-chose ! Ils ont les moyens de leur temps : la technologie. Il faut occuper leur temps. Il y a de très bons présentateurs et journalistes : Cheick Yvane, Ali DIarassouba, Amos Badi (trop discret je ne sais pas pourqoi), André Bouah, Brice Anoh… sont des habitués du micro et de l’information. De City FM à Vibe radio devenue Life Radio, ils ont la ‘’gnak’’. Avec Konnie, les femmes d’ici… il ya une brochette de talents à encadrer afin d’éviter de confondre information, animation et banalisation des talk-shows avec de prétendus influenceurs. Il yen a qui ont de la valeur. Mais de grâce, même la kyrielle qui défile sur les plateaux de débats, il y a à boire et à manger. Celui qui parle est un professionnel certifié et labelisé depuis plus de 40 ans.
Du Président Bédié, l’homme est attristé par sa disparition : ‘’Le Président Houphouët m’a nommé en 1991 rédacteur en chef à la télé et à la tête du journal ‘’Le Démocrate’’ de l’ex-parti au pouvoir le PDCI -RDA. Le Président Henri Konan Bédié, qui lui succéda, me réitéra sa confiance en me nommant Directeur de Publication, rédacteur en chef de 1993 à 1998. Que de souvenirs de nous tête-à-tête et rencontres me remontent-ils à l’esprit. Je suis triste et affligé par son décès. Assurément, Bédié était né pour commander, gouverner, diriger et laisser des traces indélébiles… Un hommage spécial à Alassane Ouattara pour sa grandeur d’âme, sa générosité, sa lucidité, son comportement de chef de de famille et de village, qui pour la circonstance, a administré la preuve que Dieu et les ivoiriens ont eu raison de faire de lui leur guide. Celui qui conduit le peuple vers des rivages paisibles et un avenir de grande fraternité.’’
Un conseil à ses jeunes des médias : c’est une question centrale morale et vertueuse. Qui est journaliste ou ne l’est pas ? Qui l’est le sait, l’intègre dans sa vision d’existence et de promotion de son existence, de sa personnalité, d’une famille et en projetant sur le futur.
