A la uneLife style

Sexo: Comment se déchaîner de ses complexes en amour ?

couple complexe 1

 

couple complexe 1

Faire l’amour, c’est se mettre à nu et en position de vulnérabilité devant son partenaire. Les femmes pour la plupart, vivent ces instants avec angoisse et développent même des blocages.

 

Avec ou sans lumière ?

Avoir besoin de l’obscurité pour faire l’amour est généralement une question de manque de confiance en soi, voire en son partenaire, dont on cherche ainsi à éviter le regard. Cela prive d’un grand nombre de sensations. Quand on sait que l’homme est, lui, extrêmement visuel et qu’il aime tout à la fois se voir et regarder sa partenaire pendant l’amour. Pendant que la femme utilise fortement l’ouïe et l’odorat.

Réhabituez-vous tout doucement à votre image corporelle, par exemple en prenant le temps de vous regarder nue dans la glace. Demandez à votre compagnon de vous apporter votre serviette quand vous sortez de la douche, habillez-vous ou déshabillez-vous devant lui, et habituez-vous progressivement à sentir son regard sur votre corps dénudé.

Pendant l’amour, pas forcement besoin d’une lumière crue, ayant tendance à accentuer les petits défauts qui, sans doute, vous pèsent et vous perturbent. Optez plutôt pour un éclairage tamisé grâce à des bougies ou une lampe voilée.

Si ça n’est pas possible dans votre chambre, faites l’amour ailleurs, dans le salon par exemple. Et n’hésitez pas à utiliser une jolie lingerie sexy que vous pouvez même garder sur vous, au moins partiellement  : on peut tout à fait être en pleine lumière sans pour autant être nue…

« Splock ! Splack ! »

En cas de bruits gênants pendant la pénétration « splocks », il faut savoir que ces bruits indiquent parfois la présence de vides et de béances, habituelles et liées au fait que l’air pénètre à l’intérieur, ce d’autant plus après un accouchement ou, au fil du temps, avec le relâchement des tissus. Tout cela reste très naturel et non inquiétant. La solution pour dédramatiser c’est l’humour ou encore le détournement de l’attention avec d’autres bruits comme des gémissements.

 « La chatte de la petite est salle, mon lit sent le poisson salé » (Lyrics Niska – Salé)

Quant à l’odeur vaginale, elle varie naturellement selon le moment du cycle (elle peut être plus forte après les règles, notamment), mais elle n’est jamais désagréable, surtout si l’hygiène intime quotidienne est respectée. Si elle devient nauséabonde comme une odeur de poisson, c’est que vous souffrez sans doute d’une vaginose. Une infection assez fréquente, provoquée par un déséquilibre de la flore vaginale, qui occasionne la prolifération de certaines bactéries. Il faut dans ce cas consulter un médecin pour confirmer le diagnostic, et ensuite suivre un traitement adapté pour régler très rapidement le problème.

To Be Free

Dans tous les cas, il faut comprendre que la sexualité, chez la femme, évolue en permanence tout au long de la vie. Une femme à la sexualité heureuse et libérée, est épanouie, n’a peur ni de son plaisir ni de son désir, et, forcément, renvoie cet épanouissement et cette liberté, par effet miroir, à son partenaire, qui s’en trouve comblé dans sa virilité.

Enfin, pour se libérer des perceptions négatives les femmes particulièrement doivent travailler sur elles. À s’affranchir de ce culte du corps idéal, cette image déformée par les médias. Rien qu’à observer les corps des gens à la plage on s’aperçoit alors qu’on est loin du corps extraordinaire, de ces diktats de beauté imposés. Pour se réconcilier avec son image et son corps, il faut penser à soi : aller chez l’esthéticienne, s’habiller de manière coquette, etc.

Le couple a aussi son rôle à jouer à travers la communication. Les femmes ont souvent une idée erronée de ce que veulent les hommes. Un homme souhaite que sa partenaire le désire, que ça se passe bien au lit, il n’a pas forcément envie d’avoir un mannequin dans son lit ou comme épouse. Pour arrêter de se focaliser sur ses complexes, il faut renouer le contact avec son partenaire.

Par Reine Oppey, Extrait du Life #147

Partager

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs requis sont indiqués *

5 × quatre =

SNEDAI