Les P-Square sont encore à la une. L’une des femmes des jumeaux est à nouveau à la base d’un soubresaut survenu banalement.

Le duo P-Square a éclaté. Peter et Paul ont décidé de se séparer musicalement. Peter s’affiche solo partout et enchaîne les spectacles. Leurs rapports humains ont été très affectés. Suite au mauvais traitement que ses frères infligeraient à sa femme Lola, Peter décide de se séparer d’eux donnant la priorité à sa femme et sa petite famille. Sa décision bouleverse tout. Son jumeau Paul et son aîné de manager Jude doivent accepter la fin de l’aventure P-Square.

Pendant que les deux parties sont entrain de s’accoutumer petit à petit à cette nouvelle situation, un petit incident va venir raviver la déchirure. Ce mercredi 8 Novembre, Anita, la femme de Paul, célébrait un an de plus. Malgré sa querelle avec son frère, Peter s’est empressé de lui souhaiter joyeux anniversaire en postant une photo d’Anita sur Instagram qu’il légende ainsi: “Happy birthday Mama Ejima😊🎂🎂 More blessings coming🙏🏽🙏🏽🙏🏽 #LLNP @anita_okoye 🎂🎂🎂🎂”. Anita répond en commentaires sous le post: “Thank you”. Un peu plat mais suffisant tout de même, diront d’autres. (Son commentaire indiquée par la flèche rouge sur la photo ci-dessous).

Quelques temps après, lorsque Jude, le grand-frère de Peter et de son mari Paul lui a souhaité un happy birthday(“Happy bday mama double double 🎂💯 @anita_okoye long life and prosperity 🙌🏼🙏🏻”), elle s’est laissée aller un peu plus en mots et en émotions en rajoutant des émoticônes: “Thanks Uncle Jude 😘😘🙌🏾🙌🏾🙌🏾 @judeengees“.

Une différence très notable entre les commentaires qui a suffit à mesurer la température des relations dans la famille Okoye. La discorde est-elle si profonde ? Les commentaires des fans vont bon train sur les réseaux sociaux suite à ce fait qui semble insignifiant pour certains et très révélateur pour d’autres. Malgré tout, ils sont nombreux à caresser le rêve du retour du duo et la paix retrouvée chez les P-Square, même si les concernés eux, ne semblent pas visiblement y songer.

Rolyvan